Sarah LANGENBACH a écrit le 02 - 11 - 2011 (Schenklengsfeld / Allemagne)
Nous avons pu vivre dans un pays riche en paysages et en chaleur humaine. Une solidarité comme on en trouve nulle part ailleurs. Un accueil mémorable qui nous fait réfléchir sur le mode de vie occidental. Des sourires gravés à jamais dans nos mémoires. Si toi aussi tu as envie de revenir changé, la tête pleine de souvenirs, avec des larmes plein les yeux de quitter cette famille, alors n'hésite pas! Tu es dans la bonne association! Nous avons eu l'occasion de rencontrer des gens incroyables, engagés pour améliorer leur quotidien. Un Akpé Kaka au Président de l'Association de nous avoir permis de vivre cette expérience qui a comblée nos coeurs.Je vous conseillerais de partir en toute confiance avec cette l'Association humanitaire et de solidarité internationale (ADEEAT-TOGO) Bisou à vous tous !!
Mélanie WERNER a écrit le 02 - 11 - 2011 (Theux / Belgique)
Un accueil agréable qui nous met directement à l’aise. Des membres de l’association de solidarité internationale (ADEEAT-TOGO) exceptionnel. Si différents j’ai appris à les connaitre tous séparément des conversations, des moments et un séjour inoubliable .Merci d’être vous continuer et ne douter pas de votre Association. Même si j’ai raccourcis mon séjour, j’ai passé deux semaines qui resteront gravé dans ma mémoire. J’ai appris à connaitre des enfants dans l’orphelinat très étonnant, avec beaucoup de caractère, ces petits orphelins ont été très vite attachants. Un rythme et une manière de vivre si différente Ce voyage m’a fait grandir, d’un point de vue personne, je reviens enrichie et fière. Vous vous êtes adapté à mes différentes et mes demandes comme une vraie princesse. Si je devrais trouver un défaut, je dirais le marquer d’intimité bien qu’il faut s’adapter à la philosophie Togolaise à être avec les autres ça fait du bien de rester des fois Merci beaucoup à bientôt Merci beaucoup à garder la pèche gros bisou Maman Méla Tata Yovo.!!!!
Julie LAHAIS a écrit le 02 - 11 - 2011 (Toulouse / France)
Ma mission consistait à m’occuper des Orphelins du centre d’Action CADOR.
Le matin, de 9 à 12 heure, je faisais classe au CE1-CE2.Nous étions de nombreux volontaires et les enfants ne dépensant pas 20.Nous pourrions donc bien les prendre en charge.
L’apprentissage consistait essentiellement à réciter leur multiplication, lire et conjuguer des verbes. Ils avaient beaucoup de lacunes surtout en Français. Après –Midi, je les aidais à leurs taches (Trie des grains de blé, déménagement du meuble, montage de meuble, nettoyage..) ou leur proposais des activités, jeux sur le terrain d’en face les enfants du centre se joignaient des fois à nous. Tous les enfants de l'orphelinat ont de très fort caractère. Il est difficile de les stopper surtout quand ils parlent en Ewé mais sont aussi très sympathiques et surtout très attachants. J’aurai aimé rester plus longtemps pour observer leurs progrès et évolutions. Les adultes, les femmes du centre, sont très courageuse de s’occuper de tous ces jeunes (je pense bénévolement) Chaque jour, un membre de l’Association (ADEEAT-TOGO)T était présent pour m’assister. C’était agréable de ne pas se sentir seule, surtout au début et les Après- Midis pacification ou traducteur en Ewé était souvent de mon séjour le bienvenu.
Les Membres de l’Association (ADEEAT-TOGO) sont très attentionnés et chaleureux. Ils tiennent réellement à ce que l’on se sente comme chez nous. Pour chaques besoins ou envies ils essayent de réaliser nos vœux, biensûr toujours dans la mesure du possible. Lorsque les volontaires arrivent ils ne nous jettent pas dans la fosse aux lions.ils tiennent à ce que l’on s’adapte au décalage horaire, à la vie Togolaise et à nous faire visiter dans un premier temps les endroits que l’on fréquentera. Ils tiennent à rester avec nous à chaque expédition en ville ou autre, parfois un peu étouffant mais rassurant. Ils organisent souvient des animations on chante, danse aux sons des Djembés on sort on bar essayer les boissons éxotiques. Les weekends, ils nous ammènent plus loin. Je suis allée à Togoville et Kpalimé visitée, c’est agréable de voir chaque fois comment nous sommes accueillis. Ils ont énormément de relation. Les togolais ont généralement la parole facile et se fond des relations à un clin d’œil. La visite de ces villes ne m’ont pas déçu, avec chacune son histoire nous y avons vu beaucoup de choses différentes. J’ai préféré tout de même Kpalimé avec ses montagnes et Cascade même si nous avons moins bien dormi.
Je qualifierais la vie togolaise par :
Vie en groupe dans la joie et bonne humeur, Solidarité aide gratute Ville très tot active les togolais sont tous levé au presque à 6H, Nourriture à base de pâte de maïs ou blé , Spaghettis, riz, igname avec une sauce (pimentée) très bon mais envie de changé des fois. Douche et toilette à la togolaise, Transports en commun sportifs en moto taxi, taxi au bus de voyage sur des routes à immense sable, Puisage de l’eau tous les matins ; Douche gratuite, Assurée surtout si on essaie de mettre les récipients plein d’eau sur la tête comme les Togolais. J’oubliais vie haute en colleur, Togolais très croyant. Dieu est partout et une référence parfait loi .
J’ai passé de très bons moments au Togo. Ce pays va me manquer. Je pense me sentir très seule en rentrant j’ai oublié surement t’écrire pleins chose mais je pense que le principal est là. J’espère avoir aidé et apporté quelque chose en tout cas je repars en France avec beaucoup de belles images dans la tête. Le Togo m’a apporté une autre vision de l’Afrique, la vraie il m’a apporté des amis qui resterons à jamais gravé dans mon cœur. Je sais que je peux désormais leur faire confiance et de même pour moi.
Aussi un autre mode de vie, une autre culture, je ne regrette rien ou seulement de ne pas rester un peu plus longtemps. Je pense avoir profité au maximum de ces beaux jours. Merci au Togo Merci aux membres de l'association ADEEAT Merci aux enfants dans la rue pour voir crié «Yovo Yovo Bonsoir comment ça va ? » Bisou à tous, le Togo me manque déjà
Sophie PERROS a écrit le 02 - 11 - 2011 (Marseille / France)
Finalement, l’engagement humanitaire demeure une expérience très égoïste. Si peu de don de soi pour tant d’apprentissages, d’évolutions personnelles : le plaisir de la découverte, l’intérêt de la rencontre, de l’échange avec des hommes, des femmes et des enfants si différents souvent, et pourtant si proches dans leur humanité. Un sourire, un échange, un silence … La joie de se sentir là. Sentir, écouter, apprendre. La délicieuse sensation, bien sûr, de se sentir utile toute en s’accomplissant soi-même ».Akpé kaka pour toute l'équipe ADEEAT